F1 | Jo Ramírez sans demi-mesure : « Les sanctions actuelles infligées aux conducteurs ? Senna doit se retourner dans sa tombe. »

"Laissez-les courir. Cela punit l'essence de ce sport", a déclaré l'ancien coordinateur mexicain de McLaren.

F1 | Jo Ramírez sans demi-mesure : « Les sanctions actuelles infligées aux conducteurs ? Senna doit se retourner dans sa tombe. »

L'un des aspects les plus critiqués de la Formule 1 contemporaine est celui relatif aux sanctions trop sévères infligées aux pilotes lors de certains duels roue contre roue. Un aspect qui, malheureusement, a la plupart du temps tendance à nuire au spectacle sur piste.

Il s'est exprimé sur le sujet Jo Ramírez, coordinateur et manager historique de McLaren de 1984 à 2001, qui n'a pas épargné les critiques à l'égard du Circus actuel.

En fait, le Mexicain, notant une certaine différence entre le présent et le passé, a fait référence à une authentique légende du sport automobile : Ayrton séné. 

"Si Ayrton nous regarde du ciel, il se retournera sûrement dans sa tombe parce que la Formule 1 a tellement changé – dit Ramírez -. Surtout le montant des pénalités infligées aux conducteurs. Laissez-les courir. C'est ainsi que l'essence de ce sport est punie. Ayrton a dit que si vous remarquez un écart et ne l'utilisez pas, vous n'êtes plus un pilote de course. »

Piero Ladisa


5/5 - (2 voix)
Motoronline.com a été sélectionné par le nouveau service Google News,
si vous souhaitez toujours être informé de nos actualités
Suivez-nous ici
Lire plus d'articles dans F1 News

Laissez un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont marqués *

Articles connexes

F1 | Imola 1994 : Senna et Ratzenberger, destins croisés F1 | Imola 1994 : Senna et Ratzenberger, destins croisés
Amarcord

F1 | Imola 1994 : Senna et Ratzenberger, destins croisés

Aujourd'hui marque l'anniversaire de la mort de "Magic" mais nous voulons aussi honorer la mémoire du pilote autrichien
Trente ans exactement se sont écoulés depuis ce week-end dramatique à Imola. Cela aurait dû être des journées pleines de plaisir, d'adrénaline,