L'ancien pilote est enthousiasmé par son nouveau rôle : "Ce qui est important, c'est que Renault puisse être compétitif et gagner le plus vite possible"
Mais la Formule 1 voit l'avenir : "Nous avons besoin de quelque chose de plus : un projet sur 4 à 5 ans, avec des réformes structurelles ciblées dans de multiples secteurs."
Selon l'ancien pilote McLaren et Ferrari, Hamilton a profité d'un avantage considérable en coupant le premier virage à Mexico, un aspect que la commission de course aurait dû analyser avec plus d'attention.