Stevens : « Je n'ai pas peur de perdre ma place au Manoir »

Trop confiant dans ses capacités de conduite et soutenu par une valise décente Will Stevens il a avoué n'avoir jamais pensé à un plan B en cas d'un éventuel licenciement par l'entreprise Manor.

«Je n'envisage rien parce que je ne pense pas que ce soit nécessaire. Certes, en cas de situation préoccupante, j'aurais déjà examiné d'autres options" – a-t-il déclaré à Autosport.

"Ce que je veux, c'est rester sur la grille en 2016 aussi et tout va dans la bonne direction même si je suis conscient qu'il n'y a que 22 places et qu'il y a des centaines de pilotes qui visent la F1 - a ajouté le Britannique - C'est évident Mais si j'échouais, je souffrirais beaucoup mais avec mon entourage nous veillons à ne pas prendre de risque."