F1 | Hamilton : "C'est ce que j'aime en Formule 1"

Le quadruple champion du monde a admis que malgré son avance de 30 points au championnat Sebastian Vettel, ne peut pas être considéré comme pleinement satisfait car il y a eu des moments de grande difficulté pour le Mercedes. De plus, avec sept courses restantes, tout peut encore arriver.

« Je veux faire une course à la fois et voir ce qui se passe. La pression est tellement forte et tout ce que je peux faire, c’est essayer de rentrer à la maison chaque week-end. Je tire certainement davantage de la voiture, mais je pense que ces trois dernières courses et ces trois victoires, ces week-ends, nous n'avons pas eu le dessus. Nous étions menés, puis nous avons remonté et c'est une grande fierté pour toute l'équipe ; ce sentiment nous encourage à faire mieux. Il reste encore sept courses, beaucoup de points et croyez-moi, nous ne sommes pas satisfaits du tout. Nous savons que nous devons travailler encore plus dur pour réduire l'écart ou pour être sûrs d'obtenir des résultats comme celui-ci (la victoire à Monza, ndlr) plus souvent.".

« En Italie, cela aurait facilement pu se passer dans l'autre sens et nous aurions pu perdre beaucoup de terrain. Pendant la course, j'ai pensé à ma course en GP2 il y a des années et au moment où Ron (Dennis, ndlr) m'a dit que j'en aurais l'opportunité et à partir de là les montagnes russes ont commencé. Dans chaque course, vous voulez trouver cet équilibre, ne pas être trop agressif et faire des erreurs, parfois vous en faites trop et d’autres fois vous laissez quelque chose sur la table. Je pensais "Je ne veux pas repartir en pensant que j'ai laissé quelque chose sur la table." J'ai adoré la bataille roue contre roue que j'ai eue avec Kimi et c'est ce que j'aime le plus dans la course. ».

Le cirque de Formule 1 se dirige vers Singapour, où se déroulera le grand prix ce week-end. Ce sera un week-end difficile à tenir, à la fois en raison des températures élevées mais aussi de la pression :

"La pression est au plus haut niveau dont je me souvienne", a poursuivi Lewis Hamilton, "c'est la pression que vous vous mettez pour réussir, pour vos désirs, pour vos peurs et pour toutes les personnes qui dépendent de vous et elles sont là. beaucoup".